Su-chan Senseï
Nombre de messages : 565 Localisation : Quelque part ici, ou là... Date d'inscription : 07/05/2006
| Sujet: Re: School problems Lun 29 Mai 2006 - 21:05 | |
| J'ai mis je pourrais un peu plus travailler. C'est vrai quoi, je pourrais un peu plus travailler, rôh ! Ce qui me pose problème en ce moment, c'est ma fatigue Mais c'est pas très très grave, en soi. | |
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Essendi Sannin
Nombre de messages : 2538 Age : 36 Localisation : Dans tes rêves Date d'inscription : 30/06/2005
| Sujet: Re: School problems Lun 29 Mai 2006 - 22:01 | |
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M3tr0iI) Obiwan Kenobi
Nombre de messages : 4086 Age : 34 Localisation : Que tu crois... Date d'inscription : 15/06/2005
| Sujet: Re: School problems Lun 29 Mai 2006 - 22:27 | |
| 'tin décidément les exposés ca y va en ce moment.... SI vous pourviez m'aidez, j'ai réussi a fini un expo sur un e analyse d'un poème et maintenant il faut que je fasse un expo sur le régime alimentaire des cyclistes et un régipme alimentaire moyen.... SI vous avez ou trouivez des infos dessus je vous serais tres reconnaissant ! | |
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Iorek Kage
Nombre de messages : 5827 Age : 38 Localisation : Rukongaï Date d'inscription : 28/03/2005
| Sujet: Re: School problems Lun 29 Mai 2006 - 22:35 | |
| - M3tr0iI) a écrit:
- 'tin décidément les exposés ca y va en ce moment.... SI vous pourviez m'aidez, j'ai réussi a fini un expo sur un e analyse d'un poème et maintenant il faut que je fasse un expo sur le régime alimentaire des cyclistes et un régipme alimentaire moyen.... SI vous avez ou trouivez des infos dessus je vous serais tres reconnaissant !
yop - Citation :
- Performances et compétitions
Dans la roue d'un champion
Les secrets d'un forçat de la route
Marie-Sandrine Sgherri
Les affaires de dopage ayant éclaboussé le peloton des professionnels de la petite reine ont au moins eu un mérite : souligner l'exigence de ce sport qui, dans certaines conditions de course, devient une véritable torture pour l'organisme. Alors, pour ceux qui ne goûtent pas au pot belge, que se passe-t-il en cuisine ?
Arras, mercredi 7 mai, 17 heures : les huit coureurs cyclistes engagés par la formation Ag2r-Prévoyance sont fatigués. Ils viennent de parcourir les 189 kilomètres de la première des six étapes des Quatre jours de Dunkerque. Bilan du jour : une bonne quinzaine de chutes dans le peloton, une première place au classement des grimpeurs pour Stéphane Bergès, jeune coureur de l'équipe arrivé deuxième, et une place de cinquième pour leur leader, Laurent Brochard, quatorzième du classement mondial et dont plusieurs victoires en 2003, notamment au Critérium international, ont confirmé l'actuel regain de forme. Tandis que les mécaniciens remettent les vélos en état, les coureurs se douchent, se font masser et, surtout, se reposent. Dans moins de vingt heures, ces « forçats de la route » devront prendre le départ de la deuxième étape. Comment font-ils pour dépenser une telle énergie sans s'effondrer ? Comment peuvent-ils récupérer après un tel effort et, le lendemain, avaler 200 kilomètres supplémentaires au même train d'enfer ?
Toute entorse se paie cash
« Le vélo, de loin, est le sport le plus exigeant », confirme Eric Bouvat, médecin au CHU de Grenoble et détaché auprès de l'équipe.
« Un coureur dépense en moyenne de 4 000 à 5 000 kilocalories par jour en compétition. Même un marathon, qui ne dure que deux heures, ne demande pas le même effort. Les cyclistes, eux, peuvent être à fond pendant plus de six heures. »
Pour se « refaire », il leur faut des sucres lents, essence ordinaire de ces organismes soumis à des efforts extraordinaires. Pain, pâtes, riz sont donc la base de leur régime alimentaire. Laurent Brochard se sert ce soir-là dans les 400 grammes de riz, qu'il accommode d'un filet d'huile d'olive et de parmesan râpé, entorse minime à une discipline inflexible.
Pas question de se laisser tenter par les frites ou les profiteroles qui figurent sur la carte du restaurant de l'hôtel : tous les coureurs en compétition mangent ce que l'organisation de la course a prévu pour eux. Il faut à ces coureurs beaucoup de sucres lents, peu de lipides, quelques protéines. Le menu est donc, chaque jour, à peu près immuable : crudités, viande ou poisson grillé, fromage en quantité et fruits frais. Sans oublier bien sûr les impressionnants saladiers de riz et de pâtes. Ce soir-là, six kilos de pâtes et presque autant de riz ont ainsi été servis aux 64 personnes, dont 32 coureurs, des quatre équipes installées pour la nuit.
Cette alimentation un peu monotone interdit les excès qui, le lendemain, « se paient comptant », selon Vincent Lavenu, directeur sportif des Ag2r. Même si le poids n'est pas une obsession pour les cyclistes, contrairement au coureur de fond ou de demi-fond, il est important d'avoir une bonne hygiène de vie : un régime est en effet exclu en compétition.
Jamais deux excès d'affilée
Laurent Brochard ne semble pas souffrir de ce sacerdoce : « Certains font du Yo-Yo tout au long de l'année. Moi pas : je suis très régulier. » Pourtant, il reconnaît qu'en fin de saison il en a « un peu marre » de ce régime. « Pendant le Tour, durant trois semaines, on mange tous les jours du poulet, des pâtes et du riz ! » D'où la tentation de se laisser aller l'hiver. Certains prennent quelques kilos. Lui a pour règle de ne jamais faire deux excès de suite, excès qui se limitent en général à un verre de vin de temps en temps. Cette tempérance naturelle lui permet d'être en excellente condition physique dès le début de saison : « On reprend l'entraînement en novembre. Celui qui a fait des écarts perd d'abord son énergie à maigrir, explique Vincent Lavenu. Dès le premier jour du stage, Laurent fait ses cent kilomètres sans fatigue excessive. Pourtant, ça fait deux mois qu'il n'est pas monté sur un vélo. » Sa régularité impressionne d'ailleurs les membres du staff : « Laurent ? Je ne l'ai jamais vu boire ne serait-ce qu'un verre de vin en compétition », s'exclame Yves Tomasina, le mécanicien. « C'est la marque des champions, renchérit Vincent Lavenu. Si un coureur souffre trop des privations, il craque et ne va pas bien loin. » Ce soir-là, comme les autres jours, le dîner, servi vers 20 heures, recharge les batteries. Le lendemain, le petit déjeuner n'est pas moins impressionnant : jambon, oeufs, fromages, fruits, tartines et... pâtes sont au menu vers 8 h 30, soit plus de trois heures avant le départ de la course, prévu à midi. Laurent Brochard se contente pourtant d'un tiers de baguette, avec beurre et confiture. « Chaque coureur doit connaître ses propres besoins. Rien n'est pire que de singer le voisin, commente le médecin. Laurent préfère manger souvent, en plus petites quantités. »
Glucose en tube
C'est une particularité des cyclistes sur route : la longueur des épreuves oblige à une prise régulière de nourriture sous forme de barres de céréales, tartelettes, petits sandwichs ou pâtes d'amandes : des aliments ultra énergétiques pour tenir jusqu'au bout. A midi, après une dernière collation, les coureurs s'élancent les poches de leur maillot pleines de ce précieux viatique. Sinon, c'est l'hypoglycémie. « Hier, Stéphane Bergès, échappé avec un autre concurrent, n'a pas pris le temps de s'alimenter durant l'étape. A l'arrivée, il a fait un petit malaise », raconte Eric Bouvat.
Pour éviter les fringales, certains, en fin de course, prennent du glucose en tube pour se donner un dernier coup de fouet ou pallier une défaillance. Mais Laurent Brochard se méfie du sucre comme de la peste : « Moi, ça me fait l'effet inverse : ça m'euphorise dix minutes mais après c'est le coup de pompe. J'ai perdu des courses à cause de ça. Alors, je fais attention à m'alimenter très régulièrement. » Même quand on n'a pas faim ? « Surtout quand on n'a pas faim, souligne-t-il. Après c'est trop tard ! »
Si s'alimenter en course est une nécessité, ce n'est pas toujours facile à réaliser : lancés dans le peloton à 50 km/h, les coureurs cherchent toujours à être « dans la roue » de celui qui les précède, attentifs à la moindre accélération : ils n'ont pas le droit à l'erreur. Le rythme très soutenu de certaines courses fait oublier à certains les règles de nutrition les plus élémentaires. « Mille choses nous empêchent de penser à manger, raconte Laurent Brochard. ça m'est arrivé deux fois cette année. Je n'ai pas été assez vigilant : mon organisme a peut-être consommé plus que d'habitude et j'ai fait de l'hypoglycémie... » Même le ravitaillement de mi-course, « le ravito » comme le nomment les coureurs, est parfois sacrifié à la dure loi de la compétition. Les coureurs doivent saisir une musette qu'on leur tend depuis le bord de la route. Ils se la mettent autour du cou, puis répartissent son contenu dans leur maillot avant de la jeter. « Parfois une équipe profite de la légère décélération du peloton pour lancer une offensive. On appelle ça "faire le ravito", raconte Vincent Lavenu. Ceux qui le font ne sont pas très populaires : à l'arrivée, tout le monde leur tombe dessus. »
En plus de ce ravitaillement, le directeur sportif qui suit le peloton dans une voiture est amené à intervenir à peu près tous les cinquante kilomètres pour passer à ses coureurs des bidons de 1/2 litre d'eau coupée de sirop voire, lors d'étapes très dures, de sels minéraux. Mais l'important est de boire : « 25 % de l'énergie développée par le cycliste est dépensé dans l'effort mécanique. Le reste, c'est de la chaleur. L'organisme doit se refroidir sinon il explose. La transpiration permet de faire baisser la température, explique le Dr Eric Bouvat. Voilà pourquoi il doit boire et de préférence de l'eau fraîche à 12-15 °C. »
Trois litres transpirés...
La perte d'eau est variable selon la vitesse et la température extérieure. Plus le coureur va vite et plus le vent le refroidit : « Au printemps, à 20 °C, il perd entre 1/2 et 1 litre d'eau à l'heure. Mais lorsqu'au Tour de France il franchit l'Alpes-d'Huez en plein juillet, il fait chaud, il va moins vite : il perd jusqu'à 3 litres. Il faut boire sans arrêt », conclut le médecin. Combien ? « En ce moment, je bois dans les cinq, six bidons d'un 1/2 litre, révèle Laurent Brochard. Mais en montagne, l'été, on peut multiplier ce chiffre par trois ! » Là encore, les coureurs apprennent à boire sans soif : « Lorsque ça roule vite, le vent nous sèche : on ne se rend plus compte. »
A l'arrivée, Laurent Brochard garde ses chances au général. Pour le directeur sportif, l'essentiel est de rassembler tout son monde pour retourner au plus vite à l'hôtel : « Si on peut gagner cinq minutes de repos chaque jour, sur une course comme le Tour, qui dure trois semaines, ça finit par faire la différence », explique Yves Tomasina, le mécanicien. Dans le camping-car, les coureurs se restaurent des mêmes friandises caloriques qu'en course : tartelettes de fruits, sodas sucrés...
Cet apport de sucres rapides oblige les cyclistes à un suivi dentaire régulier, prévu désormais par la fédération. Autre conséquence de leur vie si particulière : l'arrêt de la compétition s'accompagne inévitablement d'une prise de poids plus ou moins importante. Arturas Kaspoutis, le directeur sportif de l'équipe, a arrêté la compétition en août 2002. Il semble avoir gardé de bonnes habitudes alimentaires, mais a quand même pris six kilos. Laurent Brochard, lui, ne pense pas encore à la retraite. A l'issue des Quatre Jours de Dunkerque, il est monté sur la troisième marche du podium. Un plaisir qui, pour lui, vaut tous les sacrifices. - Enfin j'ai trouvé ça en 2 secondes sur google, il y a sûrement mieux | |
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Su-chan Senseï
Nombre de messages : 565 Localisation : Quelque part ici, ou là... Date d'inscription : 07/05/2006
| Sujet: Re: School problems Sam 3 Juin 2006 - 20:53 | |
| Comme tu nous annonce ça. Genre la sentence de mort (Todstraffe en allemand... Ok, ok, tout le monde s'en fout.) C'est quelle classe ? | |
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