la fille aux fleur

voila une histoire que j 'ai ecris recement dite moi votre avis et bonne lecture



La fille aux fleurs



Quand je l’ai vue ce jour la tout était évident, ce sentiment, cette sensation c’était sans nulle doute que l’amour.
Pourtant je pensais vraiment ne pas tomber amoureux je trouver ça grotesque voir ridicule.
Tous ces gens amoureux j’avais l’impression qu’il perdais leur liberté, pars que il n’étais plus objectif. Mais je me tromper car aimer ces aussi la liberté, la liberté de voir sourire celle qu’on aime, la liberté de partager les pire difficulté et la liberté d’être près d’elle. Ces ce que j’ai compris ce jour la un samedi matin.
Comme tous les samedi je devais faire les courses mes sœurs trop feignantes ne voulaient pas bouges le petit doigt, alors ces moi qui mit collait.
Je prenais d’habitude le même chemin, celui le plus court qui passer par des chemin vide et étroit mais ce jour je voulais faire celui le plus long, histoire d’admirer le paysage.
Lorsque on prenait ce chemin on pouvait admirer l’océan et le soleil couchant, on devait longer les côtes environ 20 minutes.
J’arrivais enfin a destination, dans ce petit magasin ou tenu part une personne que je connaissais depuis tous petit.
Je rentrais dedans, et je mis mes courses dans mon sac lorsque je fis bousculer. C’étais une jeune femme d’a preux prés mon age et qui portais un grand chapeaux jaune avec des motif en forme de fleur ainsi q ‘une robe assorti.
J’ai n’ai même pas eu le temps de la réprimander, quelle s’excusa avec une voix mélodieuse en disant tous simplement « désoler ! » et couru pour sortir du magasin.
Je fit abasourdit par un telle comportement mais j’essayais d’oublier cette incident.
Alors que j’arrivais a la caisse le gérant du magasin m’apprend que tous les jour cette fille venais au magasin pour lui achetait des fleur et repartait toujours en trombe comme si elle avais le diable au cul.
Je riais de cette remarque sarcastique tandis que je quitter le magasin.
Et pendant que je reprenais la route je prenais a repenser à elle, et je me disais qu’elle étais vraiment étrange et me demander aussi qu’es qui pouvais la faire courir comme ça, lorsque j’aperçu une silhouette près de la plage.
Je me rapprocher pour voir qui c’était près de cette plage ou peu de personne va s’arrêter.
Je fus extrêmement surpris lorsque je vus que c’étais la fille du magasin.
Elle souriais et admirais le coucher du soleil, ces alors que je l’interpella en lui demandant ce quelle faisait. Elle me répondit « Tu aborde toujours les inconnu comme ça ? » je reçu comme un coup de froid et lui rétorqua « Ces toi qui dit ça alors que tu bouscule les gens comme de simple fétu de paille »
Cette alors quand riant elle répliqua « Fétu de paille ? Ou ta bien pus trouver ces mot tes trop drôle »
C’était la première fois qu’on se moquer de se que je pouvais dire, je lui dit alors que j’avais entendus ça dans un anime japonais, mais elle se mit a rire d’avantage elle me répondit même que j’étais bizarre.
Moi bizarre ! Elle ne c’étais pas c’étais elle la plus bizarre de nous deux, je lui disais alors que c étais elle qui étais étrange.
Mais ça réponse me surpris, elle dit alors d’un ère mélancolieux « Je suis sans doute étrange, mais ces justement ce qui fait de moi qu’elle qu’un da part »
Je me demander alors pourquoi voulait elle être différent des autre, mais je n’osais lui poser la question car je pouvais voir dans son visage une tristesse qui semblais infinie.

voila la deuxieme partit

Ces alors que je décidais de lui remonter le morale, je ne savais pas pourquoi je voulais faire ça mais ces comme si une force me pousser a le faire.
Je lui demander ainsi pour changer de conversation la raison de ça venue sur cette plage.
Cette alors quelle sourit de nouveau et dit « Je viens voir le coucher du soleil tous les jour a la même heure et je jette des fleur a la mer comme si je voulais que le soleil les emporte »
Pendant qu’elle me disait tous cela, je la regarder fixement et pensait en voyant ces larme couler et son sourire qu’il y avait du ceux passer une tragédie dans ça vie qui l’avais amener a venir faire ceux geste tous les jour.
Je fus pris d’une sensation étrange alors que le vent décida de ce lever faisant voler ces larmes vers moi. Cette alors que je l’ai pris dans mes bras, elle fut surpris mais ne me repoussa pas bien au contraire elle semblais ne plus vouloir me quitter et pleura a chaude larme.
Elle me raconta que ça mère étais partit en mer avec des amie pour aller de l’autre coté de l’île pour aller lui chercher ces fleur préférer des « rose blanche » qui signifie l’amour pur qu’elle avait pour ça fille. Mais ce jour la le temps n’était pas favorable mais ça mère insista pour partir et amener ces fleur a ça fille pour son anniversaire, elle embrassa alors ça fille et lui dit
« Ne t’inquiète pas je vais revenir vite et je t’offrirais ces fleur que tu aime tant car on en trouve pas dans cette île »
Alors la petite lui répondit « Merci maman, je vais t’attendre »
Elle attendit ça mère longtemps mais malheureusement elle ne revîmes jamais, son bateaux c’étais fracasser contre des récif et avez couler.
Lorsque son père lui appris la nouvelle elle ne voulait pas le croire, et couru vers cette plage comme si elle espérais encore qu’elle revienne.
Ces depuis ce temps la quelle vient dans cette plage pour jeter des fleur des « rose rouge »
Qui signifie un amour, un respect, un courage pour sa mère défunte.
L’ironie veut que les rose rouge ne pousse que ici les préférer de ça mère, elle se dit alors que si elle avait aimer les même fleur que ça mère elle n’aurais pas u besoin de quitter cette île et donc ne serais pas morte.
Je la serais alors plus fort dans mes bras et lui dis « Je pourrais venir ici tous les jour aussi moi je jetterais des rose blanche et toi tu continuerai de jetais des rose rouge comme ça sa sera comme si vous étier encore réunis, sauf si ça te dérange »
Cette alors que ces larme s’arrêtèrent de couler elle me répondit alors avec un grand sourire.
« Non tu me dérangerais pas bien aux contraire »
Alors en séchant ces dernière larme qui sembler être des larme de joie elle rajouta.
« J’en serais ravis espèce de love machine »
Elle me tira la langue comme un enfant, et tout en partant elle me dit alors « merci et a demain »
En la voyant partir je savais que c’étais elle que je voulais protéger, je savais que c’étais elle que j’aimerais toute ma vis, cette jeune fille au fleur, cette jeune fille au sourire radieux.
C’était comme si je l’avais toujours connu et aimer sans le savoir, et tendit que je reprenais le chemin je me posais une question a voit haute « Mais pourquoi elle ma appeler love machine ? Cette espèce de fille étrange elle va voir demain »
Alors des passant s’arrêtèrent et me regardèrent d’un aire étrange comme si ils me prenaient pour un fou.
Alors je me dis que moi aussi j’étais peu être étrange et ces sans doute pour ça que cette fille ces ouverte a moi parques on étais pareil, moi qui es perdu mon père très jeune, mais je ne voulait pas en parler a cette fille même si au fond je savais quelle étais au courant qu’une tragédie m’avais secouer.
Mais je pensais au jour d’après et a la punition que j’allais lui faire subir, peu être que je vais lui faire goûter la cuisine de mes sœur si infecte, non ça serais trop plutôt une araignée en plastique que je jetterais sur elle.
Bref je verrais puisque qu’on va se voir encore et encore, cette fille, cette femme, ma femme que j’ai épouser 5 ans plus tard.


voila ces fini